Princess Maroga compte percer davantage dans le microsome de la mode internationale tout en construisant une trajectoire ambitieuse dans l’univers musical. Un grand challenge qui ne semble pas effrayer celle qui est convaincue que vision et persévérance constituent la base de tout succès.
Cette belle gabonaise née le 6 avril 1997 commence à bien faire parler d’elle. Yikou Maroga (ancienne Princess Agnès devenue Princess Maroga, hauteur : 1m78, taille : 63, hanche : 88, buste : 81, poitrine : 84), ancienne étudiante de la faculté d'Anglais de l’Université Omar Bongo Ondimba de Libreville, est passionnée de mode depuis sa tendre jeunesse. Elle s’est fait connaitre en collaborant des stylistes comme Chouchou Lazare (Gabon) et Jean Doucet (France). Et c’est l'agence Pro-mixt Profil'in qui lui a offerte sa toute première opportunité.
Mais c’est en 2021 que cette amatrice de bonne cuisine, de lecture et de sport va enfin capter réellement l’attention des médias. « La roue tourne enfin pour Princesse Agnès qui a foulé de nombreux catwalks en ce début d’année. Elle a donc défilé pour : The Four, Cukovy, ou encore Mokodu Fall et plein d’autres. Signée chez Jami Models, la jeune gabonaise commence à faire ses preuves et est un talent à suivre de très près, a écrit sur elle Badgyal Magazine à cette période.
La presse gabonaise va aussi suivre de près l’évolution de Princess Maroga surtout que l’édition 2021/2022 de la Fashion Week Automne-Hiver a été marquée par la présence de quatre mannequins gabonais, à savoir Mariam Eya Diawara, Heruidis Melame, Djo Bibalou et Princesse Agnès. « Ces femmes qui ne sont plus à présenter pour certaines, sont l’illustration de la détermination et de la patience. Pour celles qui rejoignent à peine le milieu, nous leur souhaitons de persévérer. A toutes, nous disons bonne chance, on pousse on serre ! », a commenté un journal en ligne gabonais bien connu.
Pour celle qui a choisi de s’établir à Milan, l’une des capitales mondiales de la mode, le mannequinat est avant tout un état d’esprit. « Cela dépend de la manière de se voir et je pense que tout le monde peut être mannequin ». Dernièrement, plus exactement au mois de février dernier, elle a mis à profit son passage au Festival Black History Arts, à Libreville, pour partager sa passion et sa philosophie de la vie et de l’art. Elle en a profité aussi pour réitérer son souhait de voir les mannequins figurer dans la liste de la Nuit du Talent, un événement qui a vu le jour à l’initiative du Président Ali Bongo Ondimba. Pour elle, les mannequins sont aussi des ambassadeurs de l’art, tout comme les stylistes, les makeup artists et les photographes.
Aujourd’hui, Princess Maroga a aussi un bon pied dans l’écosystème musical. Le monde du cinéma ne lui est pas non plus étranger. Pour l’instant, elle est « actrice à ses heures perdues » mais ce statut peut changer du jour au lendemain. Par ailleurs, elle veut aider les jeunes femmes africaines, à travers une structure de formation de coaching, à s’émanciper et à croire en elles.
